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Esperando que tengan una lectura de calidad.

Les saluda
Maritza Cervantes

lunes, 9 de diciembre de 2019






SALLE DU SACRE – Château de Versailles

Maritza Cervantes Macedo

Cette salle est dédiée à la gloire de Napoléon Bonaparte dès 1833 par Louis-Philippe, le dernier Roi de France.
Avant cette salle a été une chapelle Royale, puis la grande salle des Gardes.

Elle a été restaurée pour l’exposition Louis Philippe et Versailles en 2018, à partir de cette restauration on trouve au milieu de la salle la Colonne de la Campagne d’ Allemagne dite aussi colonne d’Austerlitz qu’a été commandée par Napoléon à la manufacture de Sèvres.

Elle s’appelle Salle du Sacre grâce au tableau du peintre Jacques-Louis David, Le Sacre de Napoléon le 2 décembre 1804, qui représente le couronnement de l’impératrice Joséphine.

Cette salle nous montre des tableaux historiques de la vie de Napoléon Bonaparte.


Bataille d’Aboukir, le 25 juillet 1799, de Antoine-Jean Gros.



Commandé par Joachim Murat en 1806 (le beau-frère de l’empereur), et il fut présenté au salon en 1807

Le courant artistique est le néoclassicisme.


Analyse :

Cette peinture historique nous montre la cavalerie commandée par Murat qui renverse les forces Turques, les rejette à la mer et on regarde la défaite des turcs ottomans et de son chef Mustapha Pacha.

En arrière plan : en haut de la péninsule la forteresse d’Aboukir occupé par les turcs, à droite les navires Turcs et plus loin à l’horizon quelques navires de la flotte anglaise.

À gauche de la médiane du tableau il y a les forces françaises et de l’autre coté la fuite de l’armée turque ottomane, qui se renforce avec les mouvement des turcs à gauche vers la mer.

Au milieu vainqueur, Murat avec son cheval blanc qui attire l’attention (détail de la patte du cheval blanc sur le corps du cheval de Mustapha Pacha).

Enfin les regards des personnages qui perdent la bataille, avec désespoir.

Cette bataille est un triomphe pour Napoléon et c’est dans cette campagne que Napoléon apprendra que le pouvoir du directoire en France s’affaiblit et décida de rentrer le 23 août 1799 en compagnie de Murat et des autres généraux.

- C’est dans cette salle qu’on peut apercevoir dans au plafond une allégorie de Antoine François Callet , Allégorie du 18 Brumaire an VIII (9-10 novembre 1799)
Coup d’État de Napoléon Bonaparte, dite aussi « La France Sauvée »



Il représente Hercule (figurant le Peuple), accompagné de Minerve (l’Assemblée), terrassant la Discorde et la Guerre 



La Distribution des aigles à l’armée, le 05 décembre 1804, Jacques-Louis David.




Ce tableau fait partie de commandes en vue de la célébration de Sacre que Napoléon demande à Jacques- Louis David.

Le courant artistique est le néoclassicisme.

Analyse :

Cette peinture historique nous montre le Serment de l’armée fait à l’Empereur.
L’évènement s’est déroulé trois jours après le Sacre.

L’empereur Bonaparte devait un nouveau drapeau aux gardes nationales des 108 départements ainsi qu’à tous les corps d’armée une fois que ces derniers auraient prêté serment de fidélité 

Dans sa composition, si on divise par la médiane, on distingue à gauche sur l’estrade les grands dignitaires du nouveau régime comme Duroc, Eugène Beauharnais, entre autres.
Puis on voit l’Empereur s’avancer entouré des nouveaux maréchaux comme Murat, Berthier entre autres.
Et du coté droit on peux apercevoir l’armée française avec les soldats.

David a choisi un moment important, la réponse du Serment « Nous les jurons »
Les bras sont tendus avec un moment d’euphorie, ils jurent de sacrifie sa vie pour la patrie et le trône Impérial.

« Soldats, voilà vos drapeaux ; ces Aigles vous serviront toujours de point de ralliement ; ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. » Tel est le texte du serment prononcé par l’Empereur.

On peut voir une composition triangulaire entre les drapeaux, les maréchaux et l’aigle avec le drapeau au sommet.

L’aigle un animal sacré dans l’antiquité romaine est censé d’annoncer la lumière.
Symbole de courage, de force et de puissance (les premieres furent les Perses mais on le retrouve également dans la mythologie Grecque comme insigne de Zeus – Jupiter) puis l’animal devient symbole de la république et de l’empire Romain, symbole de la parfaite souveraineté.Par conséquence l’aigle se transforme en symbole impérial par excellence, dans l’Empire Carolingien, le Saint-Empire Romain Germanique et l’Empire Napoléonien, entre autres.

Napoléon consacré par la religion et par l’aigle (oiseau et lumière). Il assure sa légitimité vers le peuple, le corps de l’armée et l’église.

À partir de 1804 l’aigle est l’emblème de l’empire.





Bibliographie 

Gonzague Saint Bris, Le Sacre ... et Bonaparte devint Napoléon (éd. Tallandier, 1999)
Gunther E. Rotherberg, Les Guerres Napoléniennes (1796-1815) Ed. Autrement -Atlas des Guerres
Nathalie le Luel, Dictionnaire des Symboles, ed Jean Paul Gisserot, 2018
Le Guide Officiel, Versailles Château, Domaine, Collections, ed RMN 2017

links :

http://www.chateauversailles.fr/decouvrir/domaine/chateau/













miércoles, 1 de mayo de 2019

Historia del Museo del Louvre










Historia del Museo del Louvre

Desde sus Orígines
 
En el gobierno de Filipe Augusto Paris llega a ser capital. El rey decide de construir una fortaleza para fortificar y proteger Paris y sobretodo él quiere delimitar su reinado. El soberano va a hacer un trabajo de urbanización.
 
Estos son los primeros orígenes del Louvre.

Esta decisión comienza en 1190 antes que parta a la guerra de las Cruzadas, así esta construcción será una fortaleza real protegiéndose de los invasores que llegan del Sena. Construyen una gran torre circular en el centro de murallas de torres cuadrangulares.

Época Medieval
  El periodo Medieval del Louvre cubre los reinados del Rey Filipe a Henri IV.
Las fortaleza se fortificó con la partida del rey Filipe y Ricardo Corazón de León à las cruzadas, la gran torre terminada en 1202 encerraba a los prisioneros.

El templo Real
Luis IX comenzó a construir espacios sin finalidad defensiva, por ejemplo la actual sala San Luis, donde aún se aprecia los vestigios. El castillo llega a ser residencia real bajo el reino de Carlos V en la segunda mitad del siglo XIV.

Entre 1360 y 1383 se continúa las construcciones, Carlos V dispone sus habitaciones en el primer piso y la reina en el piso cero, ambos se alojaron en el medio del castillo vista hacia el río Sena.

Carlos V aporta muchas modificaciones, contrata al arquitecto Raymond du Temple, quien elabora la construcción del ala del este, sur, norte y oeste.
El la parte norte realiza un jardín y la presencia de una biblioteca que cuenta con 973 manuscritos. Carlos V era un gran amador del arte, comienza a poner su colección privada.

El Renacimiento 
 Francisco I décide de hacer el louvre su residencia principal, lo remodela a causa de la guerra de Cien años entonces demuele la torre en 1528. El arquitecto es Pierre Lescot quien imagina una decoración más actual, una arquitectura renacentista, el proyecto es hacer un gran patio cuadrado que liga a los contornos de los otros edificios, lamentablemente el rey Francisco I muere antes de completar su proyecto. Henri II su hijo continúa el proyecto conjunto con el arquitecto Lescot, gracias a ese trabajo se puede apreciar la prestigiosa ala central que alberga la sala de Bal.
Henri II muere en 1559, el castillo aún es medieval con una sola ala de estilo renacentista.

Lescot continúa sus trabajos hasta su muerte en 1578.


Catherine de Medecis logra hacer dos grandes proyectos, creando grandes jardines y (donde se cuida los caballos). También logra hacer un gran palacio al final de Louvre, es así que en 1564 se comienza a construir el palacio de las Tullerías.


Desgraciadamente, esos dos Palacios son testigos del masacre de San Barthélémy.
Luego que las tensiones se calmaron, el louvre logra ser los aposentos del rey oficialmente en el reinado de Henri IV y continuera hasta el mandato del rey Luis XIV.

El gran diseño de Henri IV

El rey Henri IV era un visionario. No le gustaba la imagen de un Paris desordenado. Las Tulerias y el Louvre aún seguían en construcción. Es entonces que el rey decide un Diseño Revolucionario, reunir los dos Palacios por las galerías paralelas, una que va del norte y otra al sur.

Para la primera etapa del proyecto, una larga galería cubierta dispuesta en un piso fue construida en 1594.

Para lograrlo tiene taladrar una parte del muro de Phillipe Auguste.

Está gran galería de 460 metros de las tuileries al louvre estaba llena de pinturas para distraer a los nobles que la atravesaban.


Los trabajos se terminaron entre los gobiernos de Napoleón y Napoleón III


Louis XIII

Louis XIII décide retomar la idea de Henri IV, conjunto con el arquitecto Jacques Lemercier para modernizar el edificio.
La parte norte de la construcción medieval es demolida para prolongar la ala Lescot de manera simétrica.
Las decoraciones del edificio son armonizadas




Aux Origines

Sous le règne de Philippe Auguste, Paris devient capitale. Le roi décide d’ériger une forteresse fortifiée pour protéger Paris, mais il veut surtout marquer de son empreinte le royaume. Le souverain va donc faire un travail d’urbanisation. C’est ainsi que naît les premières origines du Louvre.

La décision est prise en 1190 lors du départ du souverain pour la croisade.

C’est une forteresse royale dans le but de contrer d’éventuels envahisseurs venus de la Seine. Un donjon circulaire placé au centre d’un robuste quadrilatère de murailles cantonnées.

Époque Médiévale
 
La période médiévale du Louvre s’étend de Philippe Auguste à Henri IV. Les fortifications sont renforcées au moment où Philippe Auguste part en croisade avec Richard Cœur de Lion. La forteresse est composée de 10 tours de défense et on ne peut y pénétrer que par deux portes avec des pont-levis. Ces dernières sont respectivement situées au sud et à l’est. Les travaux finissent en 1202 et la « grosse tour », telle qu’elle est surnommée à l’époque, enfermait déjà des prisonniers.
Le temple royal

Louis IX amorce petit à petit un changement dans la vie du Louvre en construisant des salles sans buts défensifs. On lui doit par exemple la salle Saint-Louis, dont les ruines sont toujours visibles sous le Louvre actuel.


Le château devient résidence royale sous le règne de Charles V dans la deuxième moitié du XIVe siècle.Un deuxième rempart plus large est construit entre 1360 et 1383. En effet, l’ancienne enceinte de Philippe Auguste ne représente plus les limites de la ville qui s’est largement étendue. Le roi établit alors ses appartements au premier étage tandis que la reine dispose de ses quartiers au rez-de-chaussée. Ils sont tous deux situés au milieu de l’édifice coté Seine.

Charles V apporte de nombreuses modifications au bâtiment. Il va notamment engager l’architecte Raymond du Temple pour construire les ailes nord et est. Il aménage et surélève également les ailes sud et ouest. Un espace vert – le Grand jardin – est élaboré au nord. L’une des transformations les plus remarquables est l’apparition d’une bibliothèque, qui ne compte pas moins de 973 manuscrits. Charles V, en grand amateur d’art, y ajoute sa collection personnelle.


La renaissance

François 1er décide de faire du Louvre sa résidence principale. Il faut alors rénover un palais ruiné par la guerre de Cent Ans. Une des premières décisions est d’abattre le donjon en 1528. On fait alors intervenir Pierre Lescot pour aménager l’espace. L’architecte imagine un palais moderne reflétant parfaitement l’esprit de la Renaissance. Il prévoit de faire une énorme cour carrée qui épouse les contours de l’édifice. Toutefois, le roi meurt avant que le projet soit achevé et les travaux sont interrompus.

C’est son fils, Henri II, qui continue les travaux en s’appuyant toujours sur Lescot. C’est ainsi que naît la magnifique et prestigieuse aile centrale qui abrite la salle de bal. Cette aile, grâce à son envergure, s’impose rapidement comme une référence d’architecture de l’époque.

À la demande du roi, l’architecte construit un pavillon dédié pour remplacer la tour d’angle sud-ouest. Henri II décède en 1559, le château reste encore très médiéval, avec une seule aile de style renaissance.

Lescot continue les travaux jusqu’à sa mort en 1578. Catherine de Médicis donne un nouvel élan au projet. Elle crée de grands jardins et de grandes écuries, mais pas que… Tout au bout du Louvre, elle décide de construire un nouveau palais. C’est donc en 1564 que commence la construction du Palais des tuileries. Ces deux proches palais sont malheureusement les témoins du massacre de la Saint-Barthélemy. Une fois les tensions calmées, le Louvre devient la demeure officielle du roi de France sous le règne d’Henri IV. Il le restera jusqu’au Versailles de Louis XIV.


Le Grand Dessein d’Henri IV

Comme tous les grands bâtisseurs, le Roi Henri IV est un visionnaire. Il n’aime guère cette vision d’un Paris désordonné. Les Tuileries et le Louvre sont encore en travaux. Le monarque projette alors un « Grand Dessein » : réunir les deux palais par des galeries parallèles, une qui passerait au nord et l’autre au sud.

Pour la première étape de ce projet, une longue galerie couverte disposant d’un étage est construite en 1594. Pour ce faire, il est obligé de percer le mur d’enceinte de Philippe Auguste. Elle s’étend sur 460 mètres de long et relie donc les Tuileries au Louvre. Elle est alors remplie de tableaux afin de distraire les nobles qui l’empruntent. Il faudra cependant attendre deux siècles pour que ce « Grand Dessein » d’Henri IV soit achevé par Napoléon Bonaparte puis Napoléon III.

Louis XIII

Pendant la régence de Marie de Médicis, aucun travaux n’est effectué. Louis XIII décide ensuite de reprendre l’idée d’Henri IV. Il fait appel à l’architecte Jacques Lemercier pour l’aider à moderniser l’édifice. La partie nord de l’enceinte médiévale est démolie pour prolonger l’aile Lescot de manière symétrique. Les décors des bâtiments sont aussi harmonisés. Les travaux de la cour carrée imaginée par Lescot sont repris. Il fait surtout construire le pavillon de l’Horloge. Le tout est fait dans un souci d’harmonie. Le roi meurt en 1673 alors que le peintre Poussin n’a pas fini de peindre la Grande Galerie.






lunes, 15 de abril de 2019













Femme à la lettre

Femme à la lettre 

(Mujer con la carta)

Pierre Auguste Renoir:
Vers 1890 / Huile sur Toile
Museo de l'Orangerie


Está joven estuvo pintada por Renoir dos veces en cuadros distintos con el mismo vestido, representada como vendedora de naranjas y en este donde Renoir le da un aire soñador y una actitud poco convencional de la realidad, la mano derecha en su mentón y en la otra mano una carta. 

Aunque en el cuadro la muchacha está estática nos muestra que desprende un gran desenvolvimiento en el cuadro.

La figura femenina es ante todo, después de 1885, el tema favorito de Renoir.
Sin embargo, no hay ninguna monotonía en esta producción. El dominante color azul en este cuadro, con algunos matices en rojo, es inhabituel.

Nos encontramos otra vez en el modelo de fantasía del siglo XVIII como Corot y Fragonard. 

Renoir logra refrescar en sus pinturas ese estilo. 

Renoir se interesaba por la temática de la mujer Leyendo, esto representaba a la mujer occidental que nos refleja y nos hace pensar en la Anunciación, en la segunda foto el cuadro de Fra Angelico, la mirada y posición de la "mujer con la carta" es  como la de la Virgen y sobretodo la Virgen estaba leyendo.

En esa época y ya desde antes, estaban interesados en las mujeres lectoras, como se puede ver el cuadro de Fragonard, y muchos otros como Corot...

La primera foto es el cuadro de la Mujer y la carta, se ve que ella terminó de leerla y se impregna en su contenido, la carta ocupa sus pensamientos.


"La mirada de la mujer provocada por la lectura"





Femme à la lettre

 (Mujer con la carta)

Pierre Auguste Renoir:
Vers 1890 / Huile sur Toile
Musée de l'Orangerie


Cette jeune fille a été peinte par Renoir dans deux tableaux differents où elle portait la même robe et était représentée comme une vendeuse d’oranges, ici Renoir lui donne un air rêveur et une attitude peu conventionnelle pour la réalité, la main droite sur le menton et l’autre sur la lettre.

Bien que dans la peinture la fille pose de manière un peu figée, elle dégage du tableau une grande fraicheur et gaité.


La figure féminine est avant tout, après 1885, le sujet de prédilection de Renoir. Cependant, il n'y a pas de monotonie dans cette production. La couleur bleue dominante dans cette peinture, avec quelques nuances de rouge, est inhabituelle. En même temps, Renoir change de modèle et ainsi changent les attitudes.


Nous nous retrouvons dans le modèle fantaisiste du XVIIIème siècle comme celui de Corot et de Fragonard. Renoir parvient à renouveler ce style dans ses peintures. 

Renoir s'intéressait au thème de la femme qui lit, il représente la femme occidentale qui nous reflète et nous fait penser à l'Annonciation représentée sur la deuxieme photo, le tableau de Fra Angelico, son regard ressemble à celui de la Vierge, surtout que la Vierge y était en train de lire. 

À cette époque et déjà avant, les peintres s'intéressaient aux lectrices, comme vous pouvez le voir sur le tableau de Fragonard, et beaucoup d'autres comme Corot ... 

La première image est l'image de la femme et de la lettre, on voit qu'elle a fini de la lire et s'imprègne de son contenu, la lettre occupe ses pensées.

  

   "Le regard des femmes est provoqué par la lecture"




Jeunes filles au piano [Jóvenes al piano]

Pierre Auguste Renoir:
Vers 1892 / Huile sur Toile


La representación de las dos jóvenes tocando el piano, fue uno de los temas predilectos de Renoir.

Son dos de las seis versiones que hizo Renoir, la segunda pintura se encontró en el taller del artista después de su muerte.


Renoir era un artista inquieto y dudaba constantemente de su arte, en el año 1890 aproximadamente busca volver a acercarse al pasado nacional, vuelve a mirar las pinturas del siglo XVIII, especialmente a Fragonard, quien ha pintado varios cuadros de jóvenes leyendo o ligados a la música.

En 1891 su amigo Mallarmé que aprecia mucho al artista y con el apoyo de Roger Marx, un joven miembro de la administración de Bellas artes abierto a las corrientes innovadoras, emprende trámites en 1892 para hacer entrar a los impresionistas en los museos nacionales. Fue así como, tras un encargo informal de la administración, Jóvenes al piano fue adquirido y colocado en el museo del Luxemburgo.

Ya que hasta la época, ninguno de los cuadros de Renoir fueron comprados por el estado francés.
El cuadro elegido fue la primera foto y esta actualmente en el museo de Orsay.

La  foto del segundo cuadro se encuentra en el museo de l'Orangerie, este es menos cargado, sin accesorios, nos deja viajar y dirigir nuestra mirada hacia las pianistas.


En este cuadro se puede apreciar que la pianista tiene su mirada hacia arriba, como buscando que nota tocar, y al mismo tiempo su hermana trata de voltear la página.
Quizás hay un poco de contradicción, ella debería leer las ultimas notas de la partitura antes de cambiar de pagina.
Este error no se explica en su totalidad, el pintor tenia la intención de darle gracia a las jóvenes que una alza su cuello y la otra encorva su brazo, dándole una belleza que no se a corda siempre a una lógica.

Como se puede apreciar el piano no es de cola, ellas eran de una burguesía mediana, clase social que es apreciada por Renoir.





Jeunes filles au piano [Jóvenes al piano]

Pierre Auguste Renoir:
Vers 1892 / Huile sur Toile


La représentation de deux jeunes jouant du piano étaient un de sujets de prédilection de Renoir.



Ce sont deux de six versions de Renoir. Le deuxième tableau à été retrouvé dans l'atelier de l'artiste après sa mort.   

Renoir était un artiste inquiet et doutait constamment de son art. En 1890 il cherche a renouer avec le passée national, ses regards se portent sur les tableaux de XVIIIe siècle, notamment sur ceux de Fragonard, qui avait peint plusieurs tableaux de jeunes qui lisaient ou faisaient la musique.     



En 1891 son ami  Mallarmé qui appréciait beaucoup l'artiste est avec le soutiens de Roger Marx, un jeune membre de l'administration des Beaux- Arts ouvert au courants novateurs, entrepris de prendre des mesures en 1892 pour placer des tableaux des impressionnistes dans les musées nationaux.
C’était ainsi qu'après un ordre informel de l'administration, le tableau jeunes au piano a été acquis et placé dans le musée de Luxembourg.

De plus qu'aucune toile de Renoir a été acheté pour l'état Français.

La première photo c’est le tableau choisi et qui est aujourd'hui exposé au musée d'Orsay.
La deuxième photo est le tableau qui se trouve au musée de l'Orangerie, il est moins chargé, sans accessoires, il nous permet de voyager et de diriger nos regards vers les pianistes. 

Sur ce tableau, vous pouvez voir que la pianiste lève les yeux, comme si elle cherchait une note à jouer et que sa sœur cessait au même temps de tourner la page.  

Y-a-t-il peut être un peu de contradiction? Elle devrait lire les dernières notes de la partition avant de changer la page.

Cette erreur n'est explique pas vraiment par la manque de logique du peintre, mais plutôt pour son désir de rendre le double charme d'un cou qui se hausse et d'un bras qui se courbe. La beauté ne se satisfait pas toujours de la logique.

Comme vous pouvez le constater, il n'est pas un piano à queue, ces jeunes filles appartiennent à la bourgeoisie moyenne, classe qui avait toute la sympathie de Renoir.


      






 

 

 




Pierre Auguste Renoir:

(Limoges, 1841 - Cagnes-sur-Mer, 1919)

Renoir desde su infancia estuvo ligado a la pintura, comenzó a pintar sobre las porcelanas desde los 13 años.
A comienzos de 1860 llegó a ser copista en le museo del Louvre, luego fue admitido al colegio Imperial y especial de las Bellas Artes. Es aprendiz en el taller de Charles Gleyre, al hacerse amigo de Monet, Bazille y Sisley, Renoir descubre la pintura aire librista, aclara su paleta y anima su pincelada, diviertiendola.

En 1864 expone en el salón oficial luego participa en las dos primeras exposiciones "Impresionistas" de 1874 y 1876 con dos temas de la vida contemporánea. Participando de nuevo en el Salon, logra remarcarse.

Seguidamente a un periodo dicho " Ingresco" donde la pincelada es mas precisa. Regenerando una vena "clásica" un tratamiento de gran consistencia y de resonancias clásicas, Renoir pinta mujeres opulentas, de carne pulposa y luego cada vez mas esculturales, agrupadas en un lujurioso paisaje y adoptado en un estilo mas suave, conciliando asi la linea y el color.

En 1878, Renoir se alejó del grupo impresionista y buscó el éxito en los salones oficiales; el abandono de los principios impresionistas se acentuó cuando, a partir de 1881, numerosos viajes (Normandía, Argel, Florencia, Venecia, Roma, Nápoles, Sicilia) despiertan su admiración por cierta idea clásica de lo bello (la pintura pompeyana, Ingres, Rafael Sanzio), que le llevó a cuestionarse el valor de la espontaneidad de su técnica anterior, alejándose progresivamente de los efectos atmosféricos en busca de una pintura más definida. De esta época cabe destacar obras que reflejan momentos de la vida parisiense contemporánea, como el cuadro Madame Charpentier y sus hijos (1878, Metropolitan Museum, Wolf Foundation, Nueva York), que fue expuesto en el Salón de 1879, donde recibió la aprobación del público y la crítica.

El ejercicio de la pintura es para Renoir una especie de placer físico, la sublimación de la atracción física por medio de la materia pictórica. Salud y belleza se identifican en las representaciones de esas mujeres de piel tersa y rosada. El amor por el trabajo manual de este artista, que procedía de una familia de artesanos y que fatalmente vio sus propias manos deformadas por el reuma al final de su vida, le llevó a rechazar cualquier dimensión intelectual de la pintura o cualquier resonancia literaria en favor del trabajo humilde y bien hecho.  

Las penurias económicas de Renoir terminaron con el éxito de la exposición impresionista de 1886 en Nueva York. En 1892 realizó una muestra antológica en los salones de Durand-Ruel. Dos años más tarde nació su hijo Jean (el cineasta)

A partir de ese momento los éxitos se sucedieron. Sin embargo, ni su artritis, que lo llevó a instalarse en la Provenza en busca de un clima más cálido (fue operado en 1910 de las dos rodillas, una mano y un pie), ni el alistamiento de sus hijos Pierre y Jean durante la Primer Guerra Mundial, ni incluso la muerte de su esposa en 1915, lograron disminuir su entusiasmo por la pintura.